samedi 6 février 2010

L'art du copier / coller au Maroc (Maroc Telecom)




maroc telecom la main dans le sac



Ils se croient des artistes !!!! Finalement cest quune bande De vautour, voleur et arnaqueur Dommage !!! Même pas de linspiration Cest de la peste artistiqueA suivre

vendredi 29 janvier 2010

L'iPad, joli mais peu révolutionnaire

Parmi les heureux élus ayant testé la nouvelle tablette d'Apple, "iPad", peu sont convaincus qu'elle soit aussi révolutionnaire que ne le claironne son fabricant: ils regrettent d'importantes lacunes même si son esthétisme et sa rapidité suscitent l'admiration.

Apple n'a laissé les spécialistes jouer avec son nouvel appareil que quelques minutes à l'issue de sa présentation dans un théâtre de San Francisco. Suffisamment pour que le blog Gizmodo le décrive comme "le gadget dont nous n'avions jamais réalisé qu'il nous le fallait" - surtout avec un prix de départ bien moins élevé que certains le craignaient, à 499 dollars.

Mais alors que le patron d'Apple, Steve Jobs, a évoqué un appareil "vraiment magique et révolutionnaire", la plupart des qualités de l'appareil sont déjà celles de l'iPod Touch, le baladeur haut de gamme d'Apple: esthétique soignée avec un seul bouton central au bas de l'écran tactile, une coque en aluminium, et des couleurs très vives.

Cette fois, l'iPad offre en outre la possibilité de regarder des vidéos en haute définition, avec un meilleur confort puisque l'écran est plus grand (24,6 cm de diagonale).

La qualité des applications proposées et la rapidité de l'affichage, notamment pour la lecture de journaux ou magazines font l'unanimité.

Apple a fait dès mercredi la démonstration de la lecture du New York Times sur l'iPad, avec la mise en page la plus fidèle à la version papier qu'on ait jamais vue sur un appareil portable: des articles en colonnes, des photos couleurs, des titrailles variées...

Mais, sur la base des fuites qui avaient alimenté le mystère avant la révélation de l'objet, l'iPad offre aussi son lot de déceptions: il a certes un micro, permettant de téléphoner via internet avec un système du type Skype, mais il n'a pas d'appareils photo intégré, par exemple, limitant la possibilité d'afficher instantanément des clichés sur internet.

Et puis les critiques habituels d'Apple ont regretté certaines manies de la société californienne, comme l'absence de ports permettant les connections avec d'autres appareils (pas de port pour câble HDMI ni pour cartes mémoires) ou d'une batterie remplaçable - même si Apple promet une performance assez exceptionnelle en la matière: 10 heures d'usage continu sans recharge.

Plus généralement, selon le chroniqueur du site spécialisé Mashable, Samuel Axon, l'iPad est "ultra cool, super pratique et très sexy, mais pas mieux" qu'un ordinateur portable pour toute une catégorie de tâches, alors qu'Apple vante sa création comme "la meilleure façon de naviguer sur internet, et gérer courriels, photos et vidéos - sans comparaison".

"Non merci", disait aussi Adam Frucci, énumérant sur Gizmodo "8 trucs qui craignent avec l'iPad", à commencer par l'impossibilité de laisser ouvertes plusieurs applications en même temps, à la différence de tout ordinateur qui se respecte. "Vous voulez dire que je ne peux pas écouter (la radio sur internet) Pandora pendant que j'écris un texte? je ne peux pas avoir ma fenêtre Twitter ouverte en même temps que mon navigateur? ... vous plaisantez?".

Certains jugeaient le clavier virtuel peut pratique (trop plat sur une table, mal pris en main sur un canapé), et le clavier séparé offert en accessoire contraire à l'esthétique tout-en-un de l'appareil.

Quant au nom de l'appareil, il n'a pas fini de faire ricanner. Beaucoup de blogs avaient laissé attendre un "iSlate", évoquant l'esthétique sobre d'une ardoise, alors que l'"iPad", pour des anglophones, fait immanquablement penser à des serviettes hygiéniques ("pad")...

L'iPad d'Apple en chiffres et en images

Apple a dévoilé mercredi, par le biais de son patron Steve Jobs, sa tablette tactile, l'iPad. Cet appareil, qui s'apparente à iPhone de grande taille, permet de surfer sur Internet, lire des journaux ou des livres électroniques, regarder des vidéos ou encore jouer à des jeux-vidéo. Attendu de longue date, l'iPad sera commercialisé d'ici deux mois à partir de 499 dollars. Retour en chiffres et en images sur le nouveau gadget de la marque à la pomme.


Situé à mi-chemin entre l'ordinateur portable et le smartphone, l'iPad ressemble à grand iPhone, doté d'un large écran tactile multitouch de 9,7 pouces (environ 24 cm de diagonale), pour un poids de 680 grammes et une épaisseur d'1,27 cm.

Techniquement, il embarque un processeur 1 GHz surnommé "A4", une mémoire de 16 à 64 Go, selon les versions, et dispose d'une autonomie de 10 heures. Il hérite par ailleurs du système d'exploitation de l'iPhone.

Cette tablette exploite sa taille pour offrir une navigation plus simple sur de nombreuses applications : Internet, e-mail, saisie de textes, visionnage de photos et vidéos (en HD), etc. L'appareil sert également de console de jeux-vidéos portable, dont la maniabilité est assurée par l'accéléromètre, un système capable de réagir aux mouvements de l'utilisateur.

Pour alimenter son iPad, l'utilisateur trouvera dans la liste des logiciels pré-installés une version spéciale d'iTunes, l'App Store et ses 140.000 applications (compatibles avec l'iPhone et l'iPad), ainsi qu'une nouveauté, l'iBook Store. Cette plate-forme proposera à la vente des livres numériques. Apple a déjà noué des partenariats avec plusieurs grands éditeurs (HarperCollins, Penguin, etc.) pour enrichir cette librairie virtuelle et faire de l'iPad un support de livres électroniques, concurrent du lecteur Kindle d'Amazon.

Apple a également développé une version dédiée à l'iPad de sa suite bureautique iWork. Celle-ci propose un tableur, un logiciel de présentation de document et un traitement de textes. Ces trois applications seront proposées séparément pour 9,99 dollars.

A noter que l'iPad sera accompagné de deux accessoires optionnels ; un dock pour transformer la tablette en cadre photo numérique, ainsi qu'un clavier pour l'utiliser comme un ordinateur portable.

L'iPad sera proposé en deux versions. La première disposera d'une connectivité Wi-Fi, tandis que la seconde proposera en plus l'accès au réseau mobile haut débit 3G, sous la forme d'un abonnement avec un opérateur.

Toutefois, la tablette d'Apple semble faire l'impasse sur les appels vocaux, bien qu'une prise micro soit prévue, la gestion multi-tâches, ainsi que la prise en charge de Flash. La webcam, le GPS, le lecteur de cartes mémoires et le mini rétroprojecteur, évoqués par les dernières rumeurs, sont également absents.

Côté prix, il faudra compter au minimum 499 dollars (probablement 499 euros en Europe) pour s'offrir l'iPad. A ce prix, l'appareil sera livré avec une mémoire de 16 Go, et sans accès 3G. Le modèle de 32 Go sera facturé 599 dollars, et celui de 64 Go 699 dollars. Pour la version 3G, il faudra y ajouter un surcoût de 130 dollars (soit 629, 729 et 829 dollars).



Le lancement commercial de l'iPad est programmé pour la fin mars 2010 aux Etats-Unis (vers la fin avril pour la version 3G). Tarifs et disponibilité pour les autres pays seront communiqués ultérieurement.

Les principales caractéristiques de l'iPad

Poids/épaisseur

680 grammes/1,27 cm

Ecran

Tactile multi-touch de 9,7 pouces avec rétro-éclairage LED

Processeur

1 GHz A4

Réseaux

Wi-Fi 802.11, Bluetooth 2.1, HSDPA 7.2 Mbps (3G, en option)

Mémoire interne

Disque flash de 16, 32 ou 64 Go

Localisation

Boussole numérique (Compass)

Autonomie de la batterie

10 heures

Système d'exploitation

iPhone OS X

Navigateur Web

Safari

Services associés

iTunes
App Store
iBook Store
Google Maps
YouTube

Coloris (coque)

Gris

Prix

499 dollars (Wi-Fi et 16 Go)
599 dollars (Wi-Fi et 32 Go)
699 dollars (Wi-Fi et 64 Go)
629 dollars (Wi-Fi, 3G et 16 Go)
729 dollars (Wi-Fi, 3G et 32 Go)
829 dollars (Wi-Fi, 3G et 64 Go)

Comme Apple, Microsoft avait lancé sa tablette tactile... sans succès

Quatre ans avant le lancement en grande pompe par Apple de sa tablette informatique iPad, présentée comme "révolutionnaire", son rival Microsoft avait déjà sorti une gamme de produits similaires, les Ultra mobile PC (UMPC), qui n'ont jamais rencontré le succès escompté.

En 2006, Microsoft avait lui aussi fait jouer le buzz pendant plusieurs semaines, sur internet, autour de son mystérieux projet "Origami".

Au final, le 9 mars, il avait dévoilé au salon CeBIT de Hanovre (Allemagne) un nouveau type de mini-ordinateur portable multimédia, l'UMPC, à mi-chemin entre téléphone mobile et ordinateur portable, version améliorée des Tablet PC alors présents sur le marché depuis quelques années.

Microsoft se voulait très ambitieux, déclarant que l'UMPC devait être "l'ordinateur portable le plus pratique et potentiellement celui que tout le monde devrait avoir sur soi".

Depuis, le terme recouvre une gamme de tablettes à écran tactile, fabriquées notamment par Samsung et Asus, permettant d'accéder à internet en wifi ou en 3G, de lire des MP3 et des vidéos et d'utiliser les applications Windows.

Actuellement, sont commercialisés "une dizaine de produits", notamment par Panasonic et Fujitsu, qui doivent, pour avoir le label UMPC, "remplir un cahier des charges" défini par Microsoft, explique Arnaud Lambert, responsable de produit Windows chez Microsoft France.

Mais le succès n'est pas au rendez-vous: selon l'institut IDC, les tablettes informatiques ne représentaient au troisième trimestre 2009 que 0,5% des ventes d'ordinateurs portables en France. En 2008, un peu plus de 40.000 exemplaires seulement ont été achetés dans l'Hexagone. Dans le monde, ces dernières années leur part de marché avoisinait les 1%.

Ce désamour "est beaucoup dû à l'écart de prix, car c'est un produit qui reste cher", souligne Stéphane Krawczyk, analyste chez IDC.

"Fin septembre 2009, le prix moyen des PC portables, tiré à la baisse par les netbooks (mini-PC, ndlr), était de 497 euros, alors que le prix moyen des tablettes était de 1.200 euros", explique-t-il.

Par ailleurs, l'autonomie des batteries laissait à désirer, surtout au début: le premier modèle, commercialisé par Samsung, ne tenait que 3 heures et demie, encore moins si l'on regardait des vidéos.

Apple promet de son côté une autonomie de 10 heures, pour un prix de 499 à 829 dollars (357 à 593 euros) selon les versions.

Depuis, Samsung a arrêté ce créneau, également délaissé par Intel, pourtant partenaire principal de Microsoft au départ.

"On s'est aperçu que l'attrait du produit en lui-même était assez mitigé", note Stanislas Oudinot, porte-parole d'Intel France, qui ajoute: "aujourd'hui le format tablette n'a pas encore trouvé son public, peut-être parce qu'il est trop grand pour tenir dans une poche".

Pour Microsoft, si le grand public a préféré se ruer sur les mini-PC, "dans le monde de l'entreprise, (l'UMPC) a rencontré un vrai succès, notamment dans le milieu hospitalier et le BTP", raconte M. Lambert, qui cite l'hôpital d'Arras (Pas-de-Calais) comme utilisateur de ces tablettes, pour "consulter les dossiers des patients".

Les UMPC sont aussi utilisés "pour les relevés de compteurs et les prises de commandes", note M. Krawczyk.

Côté grand public, les industriels comme Intel misent sur les MID (mobile internet devices), des tablettes plus petites tournées vers les usages multimédias: sur ce créneau, visé par l'iPad d'Apple, Archos, HP ou encore Dell ont récemment lancé des produits, et l'institut Gartner table sur 113 millions d'unités vendues dans le monde dès 2010.

Ouverture aujourd’hui de l'Aéroexpo à Marrakech: Une industrie qui prend de l'altitude

Après sa première participation au Salon de l’aéronautique du Bourget en 2008, le Maroc accueille les industriels de l’aviation jusqu’au 30 de ce mois. Quatre cents exposants, représentant les principaux avionneurs internationaux, sont attendus à la base militaire de la ville. Une occasion aussi de faire le point sur la jeune industrie aéronautique au Maroc.

Le monde des industries aéronautiques fera escale à Marrakech, quatre jours durant, apportant dans ses soutes des offres qui vont de la conception des produits jusqu’à la maintenance des équipements en passant par la modélisation, l’aide au pilotage et à la navigation, la construction et assemblage d’aéronefs, les télécommunications, etc.

“Cette deuxième édition a pour objectif d’accompagner la stratégie du développement de l’industrie aéronautique par le gouvernement marocain et les opérateurs et contribuer à consolider la place de plus en plus importante occupée par les industries de la sous-traitance, la maintenance et de la formation au Maroc” peut-on lire sur le site d’aéroexpo co-organisé par différents partenaires institutionnels et privés dont le ministère de l’Equipement et des transports, les Forces Royales Air et le Groupement des Industriels Marocains Aéronautique et Spatial (GIMAS).

Expos, conférences et acrobaties aériennes

Ce salon, organisé à la base militaire des Forces Royales Air à l’aéroport de Marrakech, s’étend sur une superficie de 60.000 m² qui recevront les stands des 400 exposants. Ahmed Reda Chami, ministre de l'industrie, du commerce et des nouvelles technologies, évoquera lors de l’inauguration la place accordée à l’aéronautique dans le Plan Émergence.

Quant à Hamid Benbrahim El Andaloussi, président du GIMAS, il évoquera la formation dans ce secteur. La conférence portant sur l’évolution de la maintenance des avions sera abordée par Mohamed Bellatig, directeur du centre industriel aéronautique de la RAM.

Il sera également question, entre autres thèmes, de la “gestion des compétences dans le domaine de l'aéronautique” expériences et témoignages à l'appui, qui sera présenté par Thierry Maugis, responsable stratégie et développement économique, Airbus Ets Nantes & Saint Nazaire.

Des shows aériens seront également au rendez-vous pour cette deuxième édition de l’Aéroexpo qui sera ouverte au grand public la journée du samedi.

Une industrie qui se sent pousser des ailes

La participation, pour la première fois, du Maroc au dernier salon du Bourget en 2008 reflète l’émergence de l’industrie aéronautique principalement basée au pôle aéronautique de Nouaceur (Casablanca). Lors du salon parisien, plusieurs conventions avaient été signées notamment celles reliant l’Office national des aérports (ONDA) et le groupe français PROTEC pour l’installation et l’exploitation d’un site de production à l’aéropôle de Nouaceur et avec le groupe MUNDAC pour l’installation d’une unité de fabrication d’outillages aéronautiques dans le même lieu.

En 2008, quand le GIMAS avait rejoint la Confédération Générale des Entreprises Marocaines (CGEM), son président avait déclaré: “Le Maroc est en passe de créer un centre dexcellence dédié à ce secteur qui emploie quelque 6.500 compétences et qui connaît un développement considérable de +30% (…). Plus de 15% des câbleries d'un avion en cours de construction par un avionneur américain sont fabriqués au Maroc.”

jeudi 28 janvier 2010

Gérer l'affichage sur deux écrans sous Windows 7

Cette astuce s'adresse plus particulièrement aux personnes qui utilisent leurs ordinateurs dans le cadre de conférences avec un affichage principal sur l'écran de l'ordinateur et un affichage secondaire sur l'écran de projection de la salle.

Avec la gestion double-écran grandement simplifiée sous Windows 7, plus besoin en effet de naviguer dans les paramètres d'affichage. Il suffit désormais d'utiliser la combinaison de touches [ Windows + P ] pour accéder à un petit menu permettant d'indiquer en un clic de souris ce que l'on souhaite obtenir :

Menu affichage Windows 7

  • Un affichage sur l'écran principal uniquement
  • Un affichage identique sur les deux écrans
  • Un affichage étendu sur les deux écrans
  • Un affichage sur l'écran secondaire uniquement


Et pour faire basculer la fenêtre active d'un écran à un autre, il suffit ensuite d'utiliser la combinaison de touches [ Windows + flèche gauche ] ou [ Windows + flèche droite ], la première affichant la fenêtre active sur l'écran principal et la seconde la fenêtre active sur l'écran secondaire.

Créer un disque de réparation système pour Windows 7

Le système d'exploitation Windows 7 intègre un outil pratique qui permet de créer un disque de réparation système. Avec ce CD / DVD de secours à sortir en cas de dysfonctionnement suite à un plantage, l'utilisateur dispose d'une trousse à outils pour réparer son système ou récupérer les données importantes si une réinstallation complète de l'ordinateur s'avère nécessaire.

Pour l'utiliser, c'est très simple. Ouvrir le menu Démarrer grâce à la touche Windows, saisir le mot " Créer " dans le champ de recherche en temps réel et sélectionner le résultat " Créer un disque de restauration système ".

Disque réparation 1

De là, il ne reste qu'à sélectionner le graveur via le menu déroulant, à insérer le CD ou DVD vierge et à lancer la procédure de création.

Disque réparation 2